This study analyzes lighting performance in single-pendentive-domed mosques, a type of architectural design common during the Ottoman era through a discussion ofthe Orhan Gazi Mosque in Istanbul, Turkey, and the Ferhadija Mosque in Sarajevo, Bosnia-Herzegovina. Our lighting assessment was conducted during the summer solstice. This study applies simulation analysis to the selected mosques using Autodesk 3ds Max Design 2012, which creates a lighting simulation showing indoor illuminance levels at hourly intervals. A weather file is added during the simulation process to accurately replicate local weather conditions. Our analysis shows that both mosques have illuminance levels of Scale 3 and 4, brightness levels not demanding high visibility and suitable for reading areas respectively; illuminance levels are slightly higher at Ferhadija Mosque than at the Orhan Gazi Mosque. The study concludes that mosques with single-pendentive-domed roofs have interior illuminance levels designed for tasks not demanding high visibility and suitable for reading areas, expressing the lighting quality of sacredness inside the mosque, and that this explains their popularity not just in Istanbul, capital city of the Ottoman Empire but also in Bosnia-Herzegovina.
Cette étude analyse l'efficacité de l'éclairement des mosquées à dôme à pendentif simple, un type architectural commun durant la période ottomane, en prenant les cas de la mosquée Orhan Gazi à Istanbul en Turquie, et de la mosquée Ferhadija à Sarajevo, en Bosnie-Herzégovine. Mesurée lors du solstice d'été, notre évaluation de l'éclairement dans ces deux mosquées a été effectuée grâce à Autodesk 3ds Max Design 2012, qui crée des simulations de niveaux lumineux intérieurs pour chaque heure de la journée. Un fichier météorologique a été combiné à ces simulations pour reproduire l'ensemble des conditions météorologiques locales. Notre analyse montre que les deux mosquées atteignent les niveaux 3 et 4 d'éclairement. Ils sont un peu plus élevés dans la mosquée Ferhadija par rapport à celle d'Orhan Gazi. L'étude conclut que les mosquées à dôme avec un pendentif simple ont des niveaux d'éclairement de niveaux 3 et 4 (respectivement des niveaux ne nécessitant pas une visibilité élevée ou des niveaux de visibilité suffisante pour les espaces réservés à la lecture), ce qui explique leur popularité non seulement à Istanbul, la capitale de l'Empire ottoman, mais aussi en Bosnie-Herzégovine.