Die Wählbarkeit im Forst – eine Spurensuche
Die Wählbarkeit im Forst – eine Spurensuche
Das Praktikum zur Erlangung des Wählbarkeitszeugnisses für den höheren Forstdienst war für Generationen von Forstingenieuren ein selbstverständlicher Teil der Ausbildung. Viele Studierende freuten sich auf das Wählbarkeitspraktikum, diesen zweisemestrigen Exkurs in die Welt der Forstpraxis. Was es mit der Wählbarkeit auf sich hat, zeigt die nachfolgende Spurensuche. Anlass ist die am 1. Januar 2018 in Kraft getretene überarbeitete Waldverordnung. Die Wählbarkeit im Forst – und mit ihr die Wählbarkeitskommission – sind seither Geschichte, nicht jedoch die notwendige praktische Erfahrung.
L'éligibilité en foresterie – à la recherche des origines
«L'éligibilité» était jusqu'à la fin 2017 une condition indispensable pour pouvoir exercer une fonction supérieure au sein du service forestier fédéral ou cantonal. La commission fédérale d'éligibilité avait la responsabilité du certificat correspondant et de la partie pratique de la formation forestière supérieure. Les origines de cette éligibilité remontent à la fondation en 1855 de «l'institut polytechnique », l'actuelle EPF. Avec la loi forestière de 1876, la Confédération a défini pour la première fois les exigences de la formation des inspecteurs forestiers cantonaux et d'arrondissements. En 1892, la Confédération confia à une commission l'examen des compétences pratiques que les forestiers devaient acquérir au cours d'un stage d'une année. L'examen cantonal originel fut intégré après la Seconde Guerre mondiale aux examens de diplôme de l'EPF et la commission d'examen devient la commission d'éligibilité. Après une apogée dans les années 1960 et 1970, l'environnement professionnel des ingénieurs forestiers se modifia à la fin du millénaire. Les services forestiers furent intégrés dans d'autres unités administratives et de plus en plus de compétences furent attendues que les ingénieurs forestiers n'étaient plus les seuls à apporter. L'éligibilité a perdu progressivement sa légitimation. Lors de la révision de la loi sur les forêts en 2013, les voix parmi les cantons qui demandaient l'abolition de la commission d'éligibilité ont obtenu gain de cause. La modification de l'ordonnance correspondante est entrée en vigueur au 1er janvier 2018. L'expérience pratique reste toutefois indispensable. Les principes y relatifs ont été définis dans une charte intercantonale «stages forestiers».
Waldpolitik 2020: Stand der Massnahmenumsetzung und der Zielerreichung Ende 2015
Waldpolitik 2020: Stand der Massnahmenumsetzung und der Zielerreichung Ende 2015
Im Auftrag des Bundesamts für Umwelt (BAFU) wurde im Jahr 2016 eine Zwischenevaluation der ersten Etappe (2012–2015) der Waldpolitik 2020 durchgeführt. Hauptziel war es, den Stand der Massnahmenumsetzung und der Zielerreichung aufzuarbeiten, um Folgerungen für die zweite Etappe ziehen zu können. Dieser Beitrag fasst die wichtigsten Ergebnisse zusammen.
Politique forestière 2020: état d'avancement à la fin de 2015
Pour une mise en oeuvre ciblée de la deuxième étape (2016–2019) de la Politique forestière 2020, l'Office fédéral de l'environnement a commandé une étude sur l'avancement de la mise en oeuvre des mesures et l'atteinte des objectifs à la fin de la première étape (2012–2015). Cette contribution présente les principaux résultats des onze objectifs de la Politique forestière 2020, sans décrire les autres orientations stratégiques. Il ressort que sur les 79 mesures fédérales analysées, 27 ont été mises en oeuvre conformément au plan, 14 ont dépassé les attentes et 38 n'ont pas été mises en oeuvre ou ne l'ont été que partiellement. Des déficits ont surtout été enregistrés dans les objectifs prioritaires no 1 «Le potentiel d'exploitation durable du bois est mis à profit», no 2 «Changement climatique: l'atténuation et l'adaptation sont assurées» et no 4 «La biodiversité est préservée et améliorée », pour lesquels la Confédération a pu mettre en oeuvre moins que la moitié des mesures prévues. Les cantons ont été plus actifs dans les objectifs prioritaires (objectifs 1 à 5) que dans les autres objectifs (objectifs 6 à 11). Pour l'objectif no 3 «La fonction protectrice de la forêt est assurée», plus que 90% des cantons ont même pleinement mis en oeuvre les mesures qui leur étaient destinées. Inversement, pour les objectifs no 6 «La capacité de production de l'économie forestière est améliorée », no 7 «Les sols forestiers, l'eau potable et la vitalité des arbres ne sont pas en danger » et no 9 «L'équilibre entre la forêt et le gibier est assuré », aucune mesure n'a été prise dans respectivement plus de 50%, 60% et 40% des cantons. Pour évaluer l'atteinte des objectifs, 22 des 47 indicateurs ont pu être évalués. A la fin 2015, dans les deux objectifs prioritaires no 1 «Potentiel d'exploitation du bois» et no 3 «Forêt de protection», aucun indicateur n'avait déjà pu atteindre la cible prévue pour 2020. Concernant l'objectif no 6 «Performance économique», un de quatre indicateurs avait atteint la cible. Considérant ensemble la mise en oeuvre des mesures et l'atteinte des objectifs, un besoin particulier d'actions s'observe dans les objectifs no 1 et no 6. La question de savoir dans quelle mesure tous les objectifs peuvent être atteints d'ici 2020 reste ouverte. Alors que les objectifs de la Politique forestière continueront à s'appliquer après 2020, la Confédération veut réviser les mesures et les indicateurs.